L'habitude... on ne s'y fera jamais

Comme à son habitude...

Le réveil sonne à 6 heures.
Evan se réveille dans son appartement du 18e. .

Sale gueule de bois, teint mate. Corollaires d'une cuite nocturne.
Un croissant chaud accompagne son café trop fort.
Imminence d'un travail à accomplir pour son travail.
Cicatrices refaisants surfaces sous la douche.
Imminence d'un travail à accomplir pour son travail.
Domination pathétique et hiérarchique perdue dans le linge sale.
Evan s'est réveillé dans son appartement du 18e.

Station Pigalle de la ligne 2 du métro.
'
Exaspérations face à une foule débordante de vie.
Mahométan méchamment observé de tous.
Peur d'attentats, omniprésente dans une vie parisienne, pas risible.
Illusion d'une vie merveilleusement illusionnelle.
Tâche mortelle dans un océan de vie.
Exaspérations face à une foule débordante de vie.
Réciprocité d'un sourire inexistant dans cette vie difficile, ce vice facile.
Nantir des gens ne méritant aucunement de vivre.
Exaspérations face à une foule débordante de vie.
L'acte interdit prend sa revanche au Pont Neuf. La foule née céciteuse ne voit pas. Comme à son habitude.

LE SUICIDE S'EMPITERNEL

LE SUICIDE SEMBLE ETERNEL

Salutations .
Une nouvelle comment dire... intéressante.
Incontestablement!
Ca faisait un moment que j'attendais un peu de corps et d'esprit pour redonner de la vie à ce forum.
Il s'agit d'une belle ébauche, "Cadet d'un jour".
Donc, si suite à cet essai littéraire il y a, l'imminence de ton travail à accomplir pour ton travail sera prompte, je l'espère.
Et bon vent à ta plume.

Tout ça me donne envie de m'aiguiser à nouveau les scaphoïdes pour éviter l'ostéonécrose.
Je pense que je vais me lancer sur un truc, pas tard !
Merci Charles.